• à propos de L'ENVERS DU MONDE

    Au sujet de :

    L’envers du monde

    Conte par Nicolaï Drassof, aux éditions ELENYA

     

    Dans mon armoire sont pas mal de textes en attente d’édition.

    Il était écrit que L’ « envers du monde » en sortirait avant les autres. Ce texte que j’avais d’abord intitulé : « l’an 526 du Renouveau » avait trouvé deux éditeurs, alors que mes autres ouvrages étaient snobés !

    Est-ce un signe ?

    Il est vrai que cette histoire me tient profondément à cœur .

     — Il y a la Cité des Dômes, capitale d’un pays semblable au nôtre mais où règne depuis 526 ans l’Ere du Renouveau.

    On n’ose y évoquer ce qu’on nomme : Les temps barbares !

     — Il y la communication du « Grand Conteur »( dont je me considère comme le traducteur), sur la découverte archéologique sensationnelle qui est faite du Document de Kader et Rebecca » l’équivalent pour nous des Livres de nos origines : Coran, Thora , Bible et autres Vedas, en plus contemporain.

     — Il y a l’histoire de Kader et Rébecca (Pire que Capulet et Montaigut, ces prénoms !) dans leur banlieue si pourrie qu'à force de sécréter le mal et le désespoir, elle en a accumulé dans un recoin secret et redouté de quoi créer un passage ( trou noir) vers un autre monde, plein d'enseignements.

     — Il y a les épreuves initiatiques, les réponses communiquées d'une manière originale, inattendue, esthétique et artistique à ce couple maintenant uni par les Êtres de Lumière .

     — Il y a ces Êtres de Lumière eux-mêmes.

    Sont-ce nos sur-moi ? La partie positive de nous-mêmes ?

    Je crois fermement que ces parties de nous-mêmes faites de sentiments positifs existent, prêts à l'usage. Il faut et il suffit que nous soyons demandeurs. Par besoin personnel, par altruisme, pour le bien des autres qui fabriquera aussi le nôtre.

    On peut rêver que nous laissions enfin derrière nous la lise noire et désespérée à laquelle Kader et Rebecca ont été arrachés.

     On peut rêver d'une transformation, non de la société, ce n'est pas en notre pouvoir, mais de chaque être qui la compose.

    Je commence par moi. Est-ce que tu me suivras, amie lectrice, ami lecteur  ?

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