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    rattrapé par l'actualité, ce texte-poésie féministe ?

    ou simplement objectif?

     

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  • Comme on change !

    Deux poèmes, trente ans ont passé...

    Vos commentaires me feraient plaisir...merci

     

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    Laurent VYEIX http://www.atome-edition.fr

    Par Nicolaï Drassof dans BLOGS ET SITES AMIS le 17 Octobre 2013 à 21:51

    Un  site clair et bien fait, qui vous ouvre pas moins de

    six romans noirs comme la nuit et éclatants comme

    l'humour et les trouvailles dont ils sont truffés.

    On ne s'ennuie pas un instant en compagnie de 

    Côme Léonard et de la belle Clarisse.

    Au fil de votre visite de ce site plein de surprises

    vous rencontrerez l'auteur et ses autres créations,

    dont un livre pour enfants avec les inséparables

    Crottiflotte et Merdipleut 





     

     


  • http://ninanet.vip-blog.com/  

     

     

    Annette LELLOUCHE

    Site pour acheter les livres :

    http://a5editions.fr/index.php/publications

     

    Si vous lisez, comme je l’ai fait,

    « Retourne là d’où tu viens »,  

    roman d ‘Annette LELLOUCHE,

    Vous aurez découvert Franky, le sosie d’Annette,

    sensible à la blessure, mais forgée par une

    expérience de vie qui l’aide à ne pas sombrer devant jalousie et méchanceté.

    Ainsi vous croirez connaître Annette Lellouche.

    Il vous reste pourtant à découvrir le charisme de l’auteur, loué par nombre de lecteurs et de critiques noyautés par la magie de sa plume solaire et poétique qui court, court de livre en livre  pour satisfaire l’attente de son public impatient.

    Vous retrouverez alors votre âme d’enfant pour vous émouvoir avec

    Pépé Charles à l’ombre de Gustave.

    Que nous réserve le dernier volume de cette trilogie, qui sortira , c’est promis, tout frais pour Noël ?

    Annette Lellouche est aussi une bloggeuse qui saura vous emmener

    sur http://ninanet.vip-blog.com/  

    dans sa "Vadrouille" à la rencontre de ses fans,  vous conter des anecdotes et vous faire la surprise de ses autres talents


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     La dernière visite de Belzébuth  (extrait)

     Ou comment LA MOTTE, petit village provençal, nargua le diable

     — « Mais si, peuchère, cette année-là ! »

    — « L’année de la canicule de tout l’été... »

    — « Fan ! Si tu te rappelle pas ça... ! »

    — « Bien sûr, Papet, que j ’ai pas oublié ! C’était l’année du diable... »

    — « Té ! Il a bon dos, le diable !  On est tout de même au vingt et unième siècle, vas pas me sortir le diable !  Des criminels, des fous, des terroristes, si tu veux, mais le diable !  Referme ta boîte aux contes provençaux, fada !... qu’on regarde la télévision !

    ... Moi non plus, je n’y crois pas, au diable, pas en permanence. Mais je suis persuadé que les hommes le créent, de plus en plus souvent d’ailleurs, en faisant, en pensant, en voulant le Mal. Alors il gonfle, il prend corps, se solidifie, et vient, avec sa cohorte de démons, s’ébattre sur terre.

    Avec ce printemps aux goûts de plage, de fruits mûrs et d’été, nous étions au Paradis. Il fallait arroser les fleurs et mouiller le pastis, déjà, mais nous faisions la nique à la saison incertaine et ressentions un sentiment délicat fait de compassion et de supériorité pour les pauvres autres habitants de France dont nous suivions, aux infos, les mésaventures météorologiques Nous avions soleil et fleurs, pas de pluies pour gêner nos projets, et l’on se baignait déjà, mer et piscines.

    Egoïstement, nous profitions de tout cela, accordant un regard discret, non concerné, à la guerre infâme, aux misères noires de certaines contrées, à la domination sans contrepartie d’un seul pays sur les autres. On constatait les résultats des mauvaises actions semées ça et là dans les siècles colonisateurs, la mort lente de la pauvre Afrique rongée par tous les maux : cela nous fournissait le matériel de base pour les formidables coups de gueule que nous poussons si bien après boire ou après manger, juste avant la pétanque et au début de soirées sous les mûriers ou les platanes.

    Puis le rosé bien frais nous calmait et chacun savourait son bien-être quand arrivait la fraîcheur du soir qui entrait dans les maisons béantes de toutes leurs ouvertures toute la journée closes, s’épanouissant le soir venu.

    Ah ! Qu’on est bien dans nos villages provençaux ! Nous crions beaucoup, parfois très fort, mais connaissons bien notre chance !

    Pendant ce temps, Belzébuth habitait en Enfer, invisible, indiscernable, et se savait de moins en moins craint, cru, influent. Certes les hommes ne révéraient plus Dieu, lui collant sur le dos  tous les effets nocifs qu’ils créaient tout seuls, et ne voulant plus croire en un Père qui permettait les misères du monde.

    Alors le diable ! Ha ! Ha !... Une relique du moyen âge que l’homme savant  nomme un effet psychologique. On n’exorcise plus les possédés, on les calme  chimiquement, on anesthésie l’incube comme le succube et hop ! le tour est joué. Plus de possédés !

    Des escamotages à dégoûter Satan lui-même !

    Mais les humains, savants ou non, privés de la salutaire peur d’un Dieu juste et de toute la grandiose mise en scène infernale — où les damnés cuisent dans leur jus parmi d’atroces tourments destinés à les rendre prudents— continuaient à sécréter le Mal, plutôt plus et plutôt mieux...

    Leur nombre augmenta la production. La malheureuse période entre nationalisme et  mondialisation la hissa au niveau industriel, et la technologie devenue religion universelle fit le reste. C’était la prospérité au noir royaume souterrain. Les démons bien nourris par le Mal qui se déversait sur eux se multipliaient, se fortifiaient, devenaient puissants, ambitieux. Leur Maître, titanesque, ne tenait plus en sa demeure étroite.

    Splach ! L’enfer, trop plein, éclata comme perce un furoncle bien mûr  et les démons se répandirent sur la terre.

    à suivre


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  • Mouette rieuse et Gros matou

    Lui était gros, grand, large et noir, comme un énorme matou

    Elle était légère, effilée, grise et pâle comme une mouette.

    Le gros matou aima sa légèreté.

    L’oiseau véloce aima en lui l‘abondance.

    L’amour abondait en effet, dans ce corps lourd à l’esprit lent.

    Un esprit entêté dans son admiration pour la finesse et la grâce de l’oiseau

    L’esprit lourd entêté d’amour était stabilité.

    La pensée rapide et légère de l’oiseau virevoltait..

    Ainsi l’oiseau s’envola...

    Le grand, gros matou, lourd et noir, désespéré, hurla sa peine et son incomplétude, comme on pleure à la lune.

     Pitoyable, son coeur lourd et vaste empli de passion voyait tout aussi noir que sa peau. Mais son sang rouge pulsait au rythme de son amour intact.

    Les pulsations, le rythme syncopé, les hurlements d’amour devinrent un chant très beau puisque « les chants désespérés sont les chants les plus beaux. »

    La renommée de ce chant si lourd de sens et si plein d’amour sans espoir se répandit de par le vaste monde, car le matou gros, grand, large et noir envoyait au loin, en abondance son chant d’amour désespéré qui parlait de grâce, de légèreté virevoltante, inconséquente parfois.

    La femme pâle et effilée, semblable à une mouette, se souvint de la douceur et du réconfort qu’il y avait auprès de l’homme grand, gros et noir qui savait aimer d’abondance et si bien chanter sa peine et son amour entêté

    La mouette anxieuse et contrite revint voleter autour du gros matou noir. Un vol d’oiselles écervelées agaçaient celui-ci, mais à travers leur foule il réussit à voir la fine mouette, perle penaude et toute émue.

    Son corps lourd et son esprit brûlant et têtu ouvrirent le refuge de ses grands bras émus à la finesse et la grâce de la jolie repentie... 


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    Il était une fois une dame qui habitait toute seule dans une petite maison fleurie de  glycines au printemps et de roses toute l’année...


    extrait des Contes d'autre part, par Nicolaï Drassof  (inédit)

     

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    ONIRIQUE

     

     

    Vivre sa vie

    Rêver ses rêves

    Rêver sa vie,

    Vivre ses rêves

     

    Quitter sa vie pour vivre ses rêves

    Se perdre dans ses rêves

    Et ne plus retrouver sa vie…

    Est-ce plus terrifiant

    Que vivre sa vie en perdant ses rêves ?


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  • extrait de

    RIBAMBELLE

    ensemble d'histoires d'enfants aux destins "bousculés"

    Zeph est arrivé dans ce village perdu du piémont pyrénéen,muni d'un lourd dossier de vaurien étiqueté par l'administration. Il sera chevrier, pour aider le vieil Emile, perclus de rhumatismes.mais, cherchant à mal faire pour s'amuser, il découvre les livres, un peu malgré lui. Depuis, il lit.

    Il lit, vous dis-je !

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  • extrait d'un des destins insolites d'enfants  du recueil "RIBAMBELLE"

    (à paraître)

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